jeudi, janvier 18, 2007

Le végétarisme pour les nuls part II

Et oui, il existe encore plusieurs autres arguments qui motivent mon choix d'être végétarienne...

6- Les végétariens qui ne sont pas végétaliens (dont je fais partie) consomment beaucoup plus d'Oméga-3 contenu dans le poisson que les amateurs de viande en général. Et comme le souligne David Serban-Schreber, cette huile est grandement bénéfique pour notre organisme. Elle a un impact physique et psychologique non négligeable. Selon plusieurs études, les acides gras Oméga-3 réduisent la dépression, l'anxiété et l'insomnie.

7- Pour sa part, John Robbins évoque dans son livre The Food Revolution: How Your Diet Can Help Save Your Life and the World que "si nous prenons une douche par jour et qu'en moyenne une douche prend sept minutes et que le débit d'eau d'une douche est de 2 gallons par minute, on utiliserait à ce rythme 5110 gallons d'eau par an pour se doucher tous les jours. Quand on compare ce chiffre à la quantité d'eau nécessaire pour produire une seule livre de boeuf californien, 2464 gallons (selon la Water Education Foundation), on réalise quelque chose d'extraordinaire. En Californie, on économiserait plus d'eau en ne mangeant pas une livre de boeuf qu'en ne se douchant pas pendant 6 mois entiers !"

8- Selon les auteurs de Végétariens mais pas légumes, il n'existe pas de végétarien qui souffre de surpoids !

9- Qui dit végétarien, dit grand mangeur de fruits et légumes, de noix et de légumineuses. Selon le docteur Richard Béliveau, une saine alimentation peut contrer le cancer. Ainsi, manger sainement et réduire sa consommation de viandes (en raison des médicaments chimiques) ne peut que nous aider à vivre mieux et plus longtemps.

10- Depuis que je suis végétarienne, je sens que j'ai plus d'énergie, plus de vitalité et moins de fatigue. Si vous avez déjà regardé le Défi 30 jours à Canal Vie, l'alimentation que les diététistes suggèrent pour purifier le système des gens qui ont du surpoids ressemble étrangement à ma propre alimentation...

Être végétarien, c'est faire sa part pour soi (notre organisme) et pour les autres (notre environnement)... À vous d'essayer !

mercredi, janvier 17, 2007

Le végétarisme pour les nuls

Je suis végétarienne. Pour les amateurs de viande, ça semble être le plus grand crime du monde. Pour moi, c'est une façon de vivre adaptée à la personne que je suis, avec les valeurs que j'ai. Dans le rythme effréné du quotidien, certains semblent penser que la cuisine végétarienne est moins accessible parce qu'elle serait plus complexe. Faux !

D'abord, il faut préciser qu'il existe différentes formes de végétarisme, comme vous pouvez le voir ici. À tous ceux qui m'ont demandé pourquoi j'ai fait le choix d'être végétarienne, je vous réponds dans mon espace virtuel, afin que d'autres personnes puissent prendre conscience des bienfaits de cette transition...

1- Dans la société de surconsommation dans laquelle nous vivons, la viande est produite pour la masse. Ainsi, le traitement qui est infligé aux animaux ne respecte aucunement l'ordre naturel. Tout le monde connaît cet argument, mais rares sont ceux et celles qui en prennent véritablement conscience.

Lorsque j'ai travaillé dans une ferme coopérative durant mon voyage d'aide humanitaire au Nicaragua, j'ai réalisé qu'ils produisaient de la viande à Nandaïme comme nous le faisions au Québec en 1950. Ils vont chercher les poulets dans l'enclos un à la fois, leur tranchent la gorge, les ébouillantent dans l'eau chaude, les déplument et les découpent pour les vendre au marché. Cette formule me semble raisonnable. Mais celle que nous préconisons ne l'est aucunement. Entasser les animaux les uns par-dessus les autres dans des cages restreintes, sans place pour bouger en les nourrissant à outrance pour les engraisser...

2- La viande consommée provient d'animaux qui sont boostés aux médicaments et aux hormones. La vache folle ? Ce n'est rien comparativement à ce qui va probablement se produire d'ici quelques années, plusieurs spécialistes nous ont déjà mis en garde. Si vous vous demandez pourquoi nous sommes tant touchés par le cancer, vous n'avez qu'à regarder ce qui se retrouve dans nos assiettes...

3- La production animale (viande, oeufs, produits laitiers) utilise une surconsommation d'énergie qui augmente le réchauffement de la planète. Comme le souligne l'auteure de l'ouvrage Végétariens mais pas légumes, la production des légumes utilise vingts fois moins d'énergie que la production de la viande, tout en nourrissant un plus grand nombre de personnes. La quantité d'eau utilisée pour la production de viande est aussi effarante, d'autant plus que l'or bleu n'est pas inépuisable.

4- Les emballages qui sont utilisés pour la vente des viandes sont rarement réutilisables et récupérables. Les multiples pellicules plastiques pour éviter que le sang coule et les stéromousses sont, eux aussi, très néfastes pour l'environnement.

5- Les mégaporcheries polluent et détruisent les nappes phréatiques. Le porc est la première viande que j'ai cessé de manger il y a quelques années, principalement parce que je goûtais l'animal dans ma bouche et le goût du cochon rose ne me revenait vraiment pas. La production de viande en quantité maximale entraîne aussi la disparition des petites fermes et entreprises familiales, ce qui détruit l'économie locale.

lundi, janvier 15, 2007

Carburer aux émotions

J'étais en train de chercher des partitions au Archambault à côté de l'UQÀM. J'ouvre le livre d'Amélie Poulain et je lis les notes qui résonnent aussitôt dans ma tête. Je suis debout, devant tous ces petits trésors et je réalise que j'ai de la chance. Beaucoup de chance... La chance de pouvoir lire ce langage que d'autres n'arrivent pas à déchiffrer. La chance d'avoir cette mémoire qui me permet, une fois chez moi, d'improviser les extraits qui m'intéressent plutôt que d'acheter le-dit livre à 59$. Et surtout, la chance de trouver mon bonheur dans des petits plaisirs de la vie comme celui-là.

Je me dirige ensuite vers les casques à écoute et j'entame la compilation des dix ans de Buddha-Bar. Je choisis d'écouter The Visit et sans savoir pourquoi, sans raison particulière, larmes. Comme ça. Parce que je suis sensible. La chanson m'a rappelé des moments de mon voyage où je me sentais pleinement heureuse. Des images claires comme si je les avaient vécues dans les dernières minutes... Et la musique vient profondément me chercher. Parce que je suis ainsi. Vibrante. Parce que je carbure aux émotions. J'attends toujours le moment d'être transportée. C'est ma source, ma vie. C'est par ces émotions que je me laisse guider, certains appèlent cela leur instinct. Pour moi, c'est mon petit feu intérieur. Comme une étoile qui me guide dans la nuit.

Lorsque les gens apprennent que j'ai fait du théâtre, de la danse et de la musique depuis que je suis toute jeune, ils me disent souvent les yeux illuminés "T'es une artiste !" Et oui, cette belle créativité est à la source de tous mes projets. Pour certaines personnes plus rationnelles, lorsque je communique les projets que je désire réaliser, ça leur semble a priori incongru. De mon côté, c'est de ne pas vivre ces projets inspirés qui me semble inconcevable. Mon mode de vie s'appelle liberté et il n'a pas de limites. Piano, guitare, chant, danse, théâtre, yoga, peinture, radio, écriture... Je pense que je suis une artiste qui ouvre ses sens à toutes formes d'art, plutôt que de me discipliner dans une seule.

Suis-je une exception ? Une exception dans la masse d'étudiants et d'étudiantes à la maîtrise ? Cette maîtrise qui demande de faire place à notre rigueur intellectuelle et à notre raison, plutôt que d'écouter notre véritable passion. Et si nous étions tous -peu importe notre champs de discipline et nos emplois respectifs- des artistes, chacun à notre manière...?

dimanche, janvier 14, 2007

Mon premier amour

J'avais quatre ans la première fois que je l'ai vu et que je lui ai touché du bout de mes doigts. La sensation de curiosité et de plaisir qu'il sollicita en moi me donna le goût de ne jamais le quitter. Il était grand, brun, aux formes carrées et chaque son qui sortait de lui me comblait... Pendant que mes amies jouaient ensemble, bien souvent moi, j'allais le voir. Quatre ans, direz-vous, c'est plutôt jeune ! Je sais, mais mon destin en avait décidé ainsi... Il était asiatique et se nommait Yamaha. Je me souviens très bien de cet amour inconditionnel que je portais à mon premier piano...

Comme je ne savais pas encore lire ni écrire à cet âge, mon professeur Nathalie remplaça les notes par des couleurs distinctes de sorte que je puisse bien les reconnaître. Lire la musique, ce n'est pas comme lire des mots, certes. Mais vous conviendrez que pour un enfant de quatre ans, voir des notes noires sur un fond blanc peut paraître plus incohérent que d'autres choses... d'où l'ingéniosité fort utile et fort agréable de donner une couleur à chaque note. Je me souviens, le sol était bleu roi et le do, jaune comme un rayon de soleil.

Avec les années, je poursuivis ma pratique du piano tout en cultivant cet amour que je voua à cet instrument. Au fil des ans, je développai une grande sensibilité (cette sensibilité commune à tous les musiciens), une grande écoute et une ouverture sur différentes formes musicales. Mon apprentissage classique s'ouvrit sur de nouvelles fenêtres : le jazz, le populaire et l'improvisation. Mes heures de pratique me léguèrent une grande technique et une aisance face à cet imposant spécimen. La pianniste Marie-Andrée Ostiguy, mon deuxième professeur, y fut pour quelque chose. Celle-ci avait une telle liberté dans ses mouvements lorsqu'elle se plaçait au piano à notre grand plaisir, le temps de nous faire entendre sa plus récente composition. Elle m'apprit à vouloir aller plus loin, au-delà de nos propres barrières, sans se mettre de pression et en prenant toujours plaisir à jouer. Vers l'âge de seize ans, mon quatrième professeur qui se nommait Lucie, ne se sentit plus en mesure de m'enseigner pour que je puisse performer à ma juste valeur (selon le talent qu'elle disait voir en moi) lors de mes derniers examens et aux masterclass de l'École de musique Vincent d'Indy. Elle me référa donc à son propre mentor, Hélène Carrière, qui proposa à mes parents l'éventualité de troquer notre bon vieux piano droit Yamaha pour un piano à queue. Un an plus tard, mes parents achetèrent un magnifique piano de 6 pieds 2 pouces noir laqué.

J'ai eu mes phases avec ce splendide instrument. Lorsque j'ai lu le roman Annabelle de Marie-Laberge, je me suis lancée dans les romantiques Impromptus de Schubert. À 17 ans, l'Opus 90 no.2 était mon préféré. Par la suite, mes émotions se virent interpellées par l'écriture passionnée de Chopin, son Opus 9 no.1 et no.2 (que l'émission Guy Corneau... en toute confidence fit connaître au grand public). Mais les élans des vagues musicales de Debussy-pour qui l'eau est un élément d'une grande importance tout comme pour moi- me rejoignèrent beaucoup. Côté populaire, mon adolescence fut marqué par l'imaginaire surprenant de Tori Amos, le film The Piano de Jane Campion et par Coldplay. Puis, Alain Lefebvre m'a récemment donné envi de découvrir l'oeuvre de notre André Mathieu national; Printemps canadien, écrit en 1940.

La musique fait partie de ma vie depuis toujours. J'ai besoin de m'exprimer pour me sentir nourrie et positive et le piano est un moyen formidable pour y parvenir. Je n'ai rien du génie Grégory Charles, qui dort quatre heures par nuit et ne sortait pas avec ses amis à l'adolescence pour mieux se vouer à sa musicalité. En revanche, je voue une grande reconnaissance à mes parents, tout comme pour ceux de Grégory. Ces derniers sont à la source de ce qu'il est devenu (son spectacle Noir et Blanc explique bien la naissance de ses qualités de pianniste). Pour ma part, mes parents m'ont donné tous le bagage nécessaire pour que je puisse enseigner le piano (comme je l'ai fait dans les dernières années) et pour poursuivre mon apprentissage dans l'univers de la musique. Cet apprentissage se réalise au quotidien, avec mes forces et mes faiblesses, puis mes élans de créativité. Ce qu'il y a de plus extraordinaire, c'est que ce bel apprentissage ne se terminera jamais...

mardi, janvier 09, 2007


Le Yoga & moi...

Né en Inde il y a plusieurs millénaires, le yoga s'est révélé un outil d'une grande utilité pour trouver la plénitude, se sentir nourri et valorisé. Cette activité et cette philosophie de vie permet de libérer l'énergie que nous considérons, bien souvent, comme une force mystérieuse sur laquelle nous n'avons aucun contrôle. La pratique plus intensive du yoga apporte la libération des barrières physiques ou psychologiques que nous nous imposons, tout en adoptant une grande écoute et un respect de soi.

Personnellement, j'étais en première année de CEGEP lorsque j'ai débuté à pratiquer le yoga. Je m'étais inscrite en option "danse et yoga" au cours d'éducation physique du Conservatoire Lasalle et j'avais beaucoup apprécié ma rencontre avec ce nouveau sport. Mais ce n'est qu'il y a environ un an que j'ai commencé une pratique du yoga plus régulière. Que ce soit le hatha, l'ashtanga, le vinyasa ou le bikram yoga, cette activité me procure un profond bien-être. Au début, lorsque nous entamons cette pratique, nous réalisons divers mouvements physiques sans leur attribuer une grande importance et sans trouver l'équilibre avec notre énergie intérieure. Au fil du temps, notre corps adhère plus facilement aux positions qui nécessitent une souplesse musculaire et cette énergie se ressent plus profondément.

"L'ouverture du coeur" (terme de Lyne St-Roch) et la sérénité au quotidien sont les objectifs recherchés. Loin de la performance et de l'égo, le yoga tente de nous faire connecter profondément avec notre véritable nature. Le lâcher-prise envers tous les éléments stressants de notre vie se fait graduellement, jusqu'à ce que nos pensées extérieures n'interfèrent plus directement avec notre conscience. Comme pour la méditation, la concentration mentale s'obtient au rythme de nos pratiques. Les bienfaits du yoga sont multiples. Certaines positions régénératrices peuvent guérir les blessures du dos et d'autres parties corporelles, alors que la pratique régulière dans l'ensemble améliore la vitalité et la concentration. Sans jugement, cette activité nous permet de prendre conscience de notre respiration (qui devient la clé de la libération des pensées qui encombrent l'esprit) et surtout de nos limites. Loin d'avoir pour finalité l'exécution de postures difficiles, le yoga n'est pas fondé sur les résultats, mais sur la façon d'aborder notre pratique personnelle.

Entamer le yoga, c'est accueillir divers changements positifs en nous : une plus grande ouverture, une conscience du moment présent, une fluidité dans nos mouvements et une approche qui nous permet d'aller plus profondément vers soi et de se réaliser pleinement...


mercredi, janvier 03, 2007

Le bonheur !

Vous souvenez-vous lorsque nous étions petits et que nous appelions nos amis, nous leur demandions tout bonnement "Veux-tu venir jouer avec moi ?" et à chaque fois, notre ami acceptait l'invitation avec beaucoup d'enthousiasme. Le temps des Fêtes m'a rappelé cette époque de l'enfance si vraie, si bienveillante, si positive et si joyeuse... À Noël, avant d'ouvrir chacun de mes cadeaux, je me souviens qu'un grand bonheur m'envahissait. Je tentais de deviner la surprise qui se cachait à l'intérieur et c'était un grand moment à chaque fois que je déchirais le papier d'emballage. J'étais toujours tellement heureuse de voir un nouveau jouet, puisqu'il correspondait à des heures de plaisir à m'imaginer un monde, une histoire créée avec toute l'imagination qu'un enfant peut avoir. Dans la tête des tous petits que nous étions, cette grande créativité motivait chacune de nos pensées et de nos actions...

Je me rappèle de cette tendre enfance et j'ai envie cette année de renouer avec les pensées toujours si positives que j'avais. Quand on est un enfant, on a qu'à faire un sourire ou dire bonjour à un autre enfant et l'on devient du coup son nouvel ami. C'est simple comme ça. Je suis persuadée que ça vous est déjà arrivé aussi de devenir l'ami d'une personne dont vous ne saviez même pas parler la langue ! C'est tellement symbolique de la beauté de cette enfance. Lorsque l'on est jeune, il n'y a pas de jugement ni de barrières entre nous. On ne connaît pas ce qu'est l'hypocrisie, la jalousie, la violence, le stress et la colère, les rares fois qu'elle nous envahit, ne dure que quelques minutes. Le bonheur, on le vit au quotidien, puisque l'on ne pense jamais à nos obligations, encore moins à notre performance et à notre égo personnel. Lorsque l'on vieillit, nous voulons performer dans ce que nous aimons et nous ne réalisons pas les arts, les sports et les emplois dans lesquels nous ne croyons pas avoir véritablement du talent. Un enfant ne pense jamais à cela, puisqu'il n'a qu'une seule envie, c'est d'avoir du plaisir. S'il coure moins vite que son voisin, ça n'a aucune importance puisque lorsqu'ils courent ils sont ensemble et sourient à la vie.

Le bonheur... c'est ce que chacun de nous désire trouver dans sa vie. Chacun à notre façon, nous adoptons le chemin qui nous y mènera. Ce chemin sera parsemé de belles rencontres et parfois d'embûches. Mais chacun de nous y arrevera, si ce n'est déjà fait. Que l'on habite au Népal, au Kenya ou au Québec, la quête du bonheur est ce qui motive notre vie et notre espoir. Il n'y a personne de différent, riche ou pauvre, homme ou femme, vieillard ou enfant, nous désirons tous trouver notre petit bonheur et être heureux. Lorsque je regarde quelqu'un que je ne connais pas, je me dis avant tout que c'est un être qui désire trouver son bien-être et ne pas souffrir, au même titre que moi. Peu importe son âge, sa taille, sa couleur de peau ou son rang, puisqu'il n'y a aucune différence fondamentale entre nous. Dans cette condition, je peux m'ouvrir à lui comme à quelqu'un de ma famille. Cette pensée me rapproche de le mentalité que j'avais quand j'étais petite et j'ai envie de garder cette vision positive de chaque être en moi. En vieillissant, nous réalisons que le monde dans lequel nous vivons n'est pas aussi merveilleux que celui que nous nous étions créé dans notre imaginaire d'enfant... Mais si l'espoir, la compassion et la joie de vivre demeurent en chacun de nous, il est alors possible de rebâtir cette vision du monde que nous avions auparavant et qui n'est pas si loin dans nos pensées.

Je vous souhaite à tous pour la nouvelle année de vous remémorer de très beaux souvenirs de votre tendre enfance et de vous rappeler le sentiment que vous portiez quotidiennement en vous face à votre famille, à vos amis et aux gens que vous ne connaissiez pas. Ne pensez pas à comment les autres pourraient vous percevoir, n'ayez aucune barrière intérieure. Je pense sincèrement que c'est une voie qui mène au bonheur. Je vous souhaite de vivre pleinement, de vivre la vie plutôt que de la subir. Dansez, souriez et exprimez-vous pleinement.
Vive la vie !